© Du silence au mensonge,
des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
philanalyste en herbe et pirate des mots.
Tous droits réservés ®.
des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
philanalyste en herbe et pirate des mots.
Tous droits réservés ®.
Le dessin illustrant la couverture s’intitule :
La peur
C’est une création originale de Franck Pasqualini, réalisée pour illustrer le poème :
Vivre jour après jour
du recueil Solitude étrangère, des écrits de Yves Philippe de Francqueville
Collection particulière ©®
La peur
C’est une création originale de Franck Pasqualini, réalisée pour illustrer le poème :
Vivre jour après jour
du recueil Solitude étrangère, des écrits de Yves Philippe de Francqueville
Collection particulière ©®
du silence au mensonge
Récit initiatique
d’après un manuscrit retrouvé
au fond d’une vieille malle scoute…
par Yves Philippe de Francqueville.
© Saint-Aël 2016
Traduit de l’américain
par Olam Salomon P.
Douzième version supervisée
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
pirate des mots et philanalyste en herbe.
« Cui liber est is liber est »
mmxvi
à Montpellier.
Ce texte manuscrit pas trop ancien a été réécrit à l’ordinateur,
le plus fidèlement possible,
en respectant une correction
orthographique et grammaticale…
puis imprimé aux dépens de l’auteur…
Sans l'approbation ni les privilèges…
de ceux qui pensent être dépositaires d'une vérité…
d'un quelconque pouvoir…
À Laurent.
J’espère qu’à travers sa terrible épreuve — malgré les blessures — ses yeux s’ouvriront enfin au plaisir du beau, dans la volonté d’entreprendre.
À ma cousine Cécile, qui sut dans ces années sombres,
être un charmant rayon de soleil.
Ce roman est un récit purement autobiographique
d’un personnage certainement fictif…
Tout est absolument inventé,
puisque c’est une aventure rapportée par la mémoire d’un adolescent…
C’est une riche histoire vécue sur une courte période de son existence,
où le rêve et la réalité sont si proches.
Si l’un ou l’autre des protagonistes de ce livre ressemble à des êtres de ce monde
— présents ou passés —
cela ne devrait être qu’une étrange coïncidence.
Avertissement aux (plus jeunes) lecteurs :
À Cazaux, janvier 199*
Voici à travers ce récit, une période difficile d’un adolescent aux portes de l’âge adulte.
C’est six mois d’existence pour d'éprouvantes aventures que les années ne pourront effacer.
Quatre ans après, j’ai trouvé la force de l’écrire. Pourtant bien souvent, le stylo n’a pas eu la tâche facile : il est peu aisé de se raconter à cœur ouvert.
Il ne m’était pas nécessaire d’arranger cette histoire ; la voici telle qu’elle a été vécue, ou plutôt telle que ma mémoire l’a conservée.
Je vous l’offre ainsi… afin de vous en préserver.
Une sagesse hindoue nous dit :
« Si tu sautes dans un puits,
la providence n’est pas obligée d’aller te chercher ».
Lorsque quelqu’un fait une erreur, il a parfois la chance de s’en sortir sans trop de blessures, et surtout avant qu’il ne soit trop tard.
Ai-je à considérer que mes actes furent mauvais ?
Je ne le pense pas.
Ai-je été maladroit ?
Peut-être, certainement, même, mais mon entourage aussi.
Je ne leur en veux pas.
Ce qui reste le plus redoutable c’est d’avoir compris que dans ce monde, c’est surtout la lâcheté qui règne en maître.
J’ai souhaité rester fier…
Parfois je fus téméraire, à en être orgueilleux.
Et c’est alors que la chute est rude.
Vous serez peut-être indignés par le déroulement de cette affaire — par tout ce qui se passe — mais la vérité peut être très crue.
Tout en restant le plus correct possible, j’espère ne pas trop vous choquer par les faits.
S’abstenir devient trop vite mensonge.
Nous vivons à une époque où la corruption sait toujours être maîtresse des lois.
Les enfants n’ont pas encore leur place : dans des désirs innocents à l’origine — puisqu’ils sont détachés des notions de bien et de mal imposés par les adultes — ils sont rapidement les victimes de leur soif de liberté perdue.
Beaucoup alors vont exprimer dans leurs comportements, les violences qu’ont canalisées plus ou moins leurs parents.
De victime, il est si simple de devenir bourreau.
Hélas.
C’est à chacun d’entre nous d’oser préférer la vie à la sousvie, comme l’écrivait Antoine de SAINT-EXUPERY :
« Être homme, c’est sentir qu’en posant sa pierre,
l’on contribue à bâtir le monde ».
Voici à travers ce récit, une période difficile d’un adolescent aux portes de l’âge adulte.
C’est six mois d’existence pour d'éprouvantes aventures que les années ne pourront effacer.
Quatre ans après, j’ai trouvé la force de l’écrire. Pourtant bien souvent, le stylo n’a pas eu la tâche facile : il est peu aisé de se raconter à cœur ouvert.
Il ne m’était pas nécessaire d’arranger cette histoire ; la voici telle qu’elle a été vécue, ou plutôt telle que ma mémoire l’a conservée.
Je vous l’offre ainsi… afin de vous en préserver.
Une sagesse hindoue nous dit :
« Si tu sautes dans un puits,
la providence n’est pas obligée d’aller te chercher ».
Lorsque quelqu’un fait une erreur, il a parfois la chance de s’en sortir sans trop de blessures, et surtout avant qu’il ne soit trop tard.
Ai-je à considérer que mes actes furent mauvais ?
Je ne le pense pas.
Ai-je été maladroit ?
Peut-être, certainement, même, mais mon entourage aussi.
Je ne leur en veux pas.
Ce qui reste le plus redoutable c’est d’avoir compris que dans ce monde, c’est surtout la lâcheté qui règne en maître.
J’ai souhaité rester fier…
Parfois je fus téméraire, à en être orgueilleux.
Et c’est alors que la chute est rude.
Vous serez peut-être indignés par le déroulement de cette affaire — par tout ce qui se passe — mais la vérité peut être très crue.
Tout en restant le plus correct possible, j’espère ne pas trop vous choquer par les faits.
S’abstenir devient trop vite mensonge.
Nous vivons à une époque où la corruption sait toujours être maîtresse des lois.
Les enfants n’ont pas encore leur place : dans des désirs innocents à l’origine — puisqu’ils sont détachés des notions de bien et de mal imposés par les adultes — ils sont rapidement les victimes de leur soif de liberté perdue.
Beaucoup alors vont exprimer dans leurs comportements, les violences qu’ont canalisées plus ou moins leurs parents.
De victime, il est si simple de devenir bourreau.
Hélas.
C’est à chacun d’entre nous d’oser préférer la vie à la sousvie, comme l’écrivait Antoine de SAINT-EXUPERY :
« Être homme, c’est sentir qu’en posant sa pierre,
l’on contribue à bâtir le monde ».
D’après HÉRACLITE,
En relecture libérée de toute gravité :
« La dispute est mère de toute rencontre, et de toute création »
En relecture libérée de toute gravité :
« La dispute est mère de toute rencontre, et de toute création »
Page de garde originale du manuscrit
retrouvé au fond d’une malle scoute…
par Yves Philippe de Francqueville
retrouvé au fond d’une malle scoute…
par Yves Philippe de Francqueville
Vers le
Prologue
Prologue
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Au 20 avril 2016, la moyenne des visites mensuelles sur l'ensemble des sites et blogs se trouve entre 12.000 et 15.000.
Depuis plus de trois années.
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© du silence au mensonge,
des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville
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